Ce temps d’échange est prévu en visioconférence pour faciliter la participation du plus grand nombre et anticiper d’éventuelles nouvelles restrictions liées au contexte sanitaire. Les inscriptions sont ouvertes.
Quel diagnostic ? Quelles orientations ?
Deux points principaux figurent au programme de cette phase de concertation : la synthèse du diagnostic territorial et la présentation des orientations envisagées.
Après introduction de Suzanne Jaunet, vice-présidente déléguée aux relations aux communes et à la ruralité et un rappel de ce que sont le RLPi et ses enjeux avec l’équipe-projet de GPS&O, la rencontre permettra de présenter les principaux éléments du diagnostic de terrain effectué fin 2020. Il recense le nombre, les formats, les emplacements et l’impact qualitatif sur le cadre de vie… Ces données sur les publicités et les enseignes présentes sur les 73 communes de GPS&O vont servir de base à la rédaction des grands principes du RLPi. Un aperçu de cet inventaire est à lire dans la première lettre d’information parue en février dernier et consultable sur ce site internet.
Améliorer la lisibilité des activités
Le RLPi a pour vocation première de compléter les règles nationales qui s’appliquent partout sur les dispositifs publicitaires. Pour répondre à ces grandes orientations, les règles locales pourront renforcer les restrictions déjà induites par le règlement national de publicité (nombre de panneaux autorisé, taille…).
Les enseignes sont aussi concernées par la démarche, qu’elles soient scellées au sol, en façade, en toiture ou perpendiculaires
Plus pédagogique que normative, une « charte de la bonne enseigne » est également envisagée comme annexe au RLPi pour indiquer conseils et recommandations sur l’apparence, l’éclairage… notamment pour les commerces de centre-ville, afin de gagner en qualité d’accueil et en lisibilité.
Sur tous ces sujets, l’expertise des commerçants et entrepreneurs est essentielle pour ajuster au mieux le cadre de ce RLPi et, par la suite, les règles instaurées.